Studien und Miszellen zu Henri Barbusse und seiner Rezeption in Deutschland (Monographie)


Allgemeine Angaben

Autor(en)

Horst F. Müller

Verlag
Peter Lang
Stadt
Frankfurt am Main et al.
Publikationsdatum
2010
Weiterführender Link
http://www.peterlang.net/index.cfm?vID=59887&vLang=D&vHR=1&vUR=2&vUUR=1
ISBN
978-3-631-59887-0 ( im KVK suchen )
Thematik nach Sprachen
Französisch
Disziplin(en)
Literaturwissenschaft
Schlagwörter
Henri Barbusse

Exposé

L’auteur, spécialiste des recherches sur Barbusse et qui publia, en 2003, une grande bio-bibliographie sur cet auteur, présente ici un recueil de 11 études réalisées entre 1975 et 2009.

Il s’agit d’abord de l’engagement pendant la première Guerre mondiale et du „cornélianisme" en tant que norme littéraire; pour l’après-guerre, du non-engagement sensible dans la revue la revue Les Marges, dirigée par Eugène Montfort, en 1919/20. Une lettre de Barbusse à Montfort y suscita tout un débat sur littérature et politique devant l’arrière-plan de la confrontation entre Clarté et le Parti de l’Intelligence.

Le Feu, 1916, fameux roman de la Grande Guerre, souvent réduit à un reportage, constitue le centre des travaux sur les œuvres de Barbusse.

La vision du corporal Bertrand : Une lecture de l’Humanité de la deuxième moitié de 1914 a permis de détruire le mythe du symbole de Liebknecht et de mettre fin à l’interprétation léniniste du texte qui était très répandue.

Ce résultat se trouve aussi dans l’interprétation faite dans la postface de l’édition allemande du Feu de 1986.

Les Annotations sur Le Feu qui, elles, sont plus récentes sont dirigées contre les tendances du réalisme bêlant qui trouve son apogée dans le “réalisme socialiste”. L’accent est mis sur l’intertextualité. Voici les sous-titres de ce chapitre: Création visionnaire et métaphores religieuses – Le modèle de l’Enéide — Digression sur la vision — L’épopée moderne de la Grande Guerre – La généalogie de deux motifs – Les sphères mythiques: le monde, les enfers, les deux – La dimension mythique du roman – La guerre comme descente aux enfers — Les deux: épique classique et peinture.

Suivent une postface à l’édition allemande des Lettres de Henri Barbussse à sa femme 1914- 1917(posthume 1937) de 1987 et une lettre de Barbusse du 20 mai 1920 à Rudolf Hartig, poète et révolutionnaire bavarois.
Une analyse de la naissance du Staline (1934) selon les lettres de Barbusse à Alfred Kurella met en en question l’exposé d’Annette Vidal.

Les trois derniers chapitres sont consacrés à la réception. L’un montre la réception enthousiaste de Barbusse, initiateur de Clarté par les expressionnistes allemands (Iwan Göll, Kasimir Edschmid Ludwig Rubiner…), l’autre, par contre, la récusation de Clarté par Thomas Mann et E. R. Curtius d’accord avec André Gide. Le dernier chapitre montre l’influence de Barbusse sur Thomas Mann et surtout les affinités entre le roman L’Enfer (1908) et La Montagne magique (1924).

Inhalt

Book synopsis

Dieses Buch behandelt das literarische Engagement der Kriegszeit 1914 ff. als literarische Norm des «Cornélianisme», seine vollständige Ablehnung 1919/20 in der Zeitschrift Les Marges und die darin geführte Debatte um Literatur und Politik. Es zeigt an dem Weltkriegsroman Le Feu, 1916 (dt. Das Feuer, 1918), die Historizität des Textes und den mit der mythischen Dimension verbundenen visionären Charakter sowie die Rolle der Intertextualität. Neben einer Beleuchtung der Briefe von der Front wird hier auch erstmals die authentische Entstehung von Barbusses Stalin, 1934, an Hand der Briefe von Barbusse an Alfred Kurella aufgezeigt. Der Rezeptionsteil zeigt das Echo des Clarté-Gedankens in Deutschland. Neben der enthusiastischen Aufnahme durch die Expressionisten (Iwan Goll, Kasimir Edschmid u. a.) trat die Ablehnung kulturkonservativer Intellektueller wie Thomas Mann und E. R. Curtius im Bündnis mit André Gide. Im Text- und Motivvergleich werden die Affinitäten zwischen Barbusses Roman L’Enfer, 1908, und Thomas Manns Zauberberg, 1924, nachgewiesen.

Contents

Aus dem Inhalt: Historizität – Visionärer Charakter und Intertextualität des Romans Le Feu – Echo des Clarté-Gedankens in Deutschland in enthusiastischer Form bei den Expressionisten (Goll, Edschmid u. a.), als Ablehnung bei Thomas Mann und E. R. Curtius im Bündnis mit Gide – Abhängigkeit von Thomas Manns Zauberberg von Barbusse.


Anmerkungen

287 S. 21 cm.

Ersteller des Eintrags
Gerda Haßler
Erstellungsdatum
Montag, 19. April 2010, 11:55 Uhr
Letzte Änderung
Montag, 19. April 2010, 11:55 Uhr