Stadt: Paris

Frist: 2023-01-15

Beginn: 2023-11-23

Ende: 2023-11-25

La sémiologie, organon pour une recherche inter- et transdisciplinaire ?
Actualité des approches sémiotiques dans la recherche émergente franco-allemande en sciences humaines et naturelles
Paris, du 23 au 25 novembre 2023
(Conférence hybride)

Tout champ d’élaboration et de transmission de connaissances se distingue non seulement par les objets qu’il permet d’étudier, mais aussi par le développement d’un langage et d’une méthodologie plus ou moins spécifiques et une organisation dans des structures sociales et institutionnelles (cf. Besnier & Perriault 2013). S’il est vrai que les initiatives interdisciplinaires ne manquent pas, et que certains y voient les premiers signes d’une “transition vers un âge post-disciplinaire” (cf. Endrizzi 2017 : 2 ; Heilbron & Gingras, 2015), il est certain que de tels échanges inter- voire transdisciplinaires ne peuvent être fructueux pour toutes les parties que dans la mesure où ils reposent sur des éléments communs. La sémiologie pourrait-elle contribuer à établir de tels éléments ? De la linguistique à la (micro-)biologie, de la didactique aux sciences cognitives, de l’informatique aux différentes disciplines des sciences humaines, ce premier colloque a pour horizon de mettre en place une plateforme d’échanges transdisciplinaires, transnationaux et transgénérationnels, permettant aux participants de mettre à profit, à partir des acquis de la sémiologie, les réflexions et les connaissances d’autres disciplines et traditions de recherche dans leurs recherches propres.

En poursuivant l’objectif d’une description des processus de la sémiose, c’est-à-dire d’une mise au jour des mécanismes par lesquels nous pouvons donner une signification aux phénomènes du monde, la sémiologie est en effet un outil permettant d’éclairer de plus près l’interface que toutes les recherches et les enseignements partagent : la question de l’élaboration et de la transmission du sens (cf. Klinkenberg 1996 : 9-10). Le linguiste genevois Ferdinand de Saussure avait déjà vu dans son Cours de linguistique générale (1971/1916 : 33) le potentiel de la sémiologie pour une théorie fondamentale de “l’ensemble des faits humains”, idée que le philosophe allemand Ernst Cassirer a repris plus tard dans sa Philosophie der symbolischen Formen (2010/1923-1929) en la recontextualisant sous l’angle de philosophie de la culture. L’approche structuraliste développée par Saussure, qui accordait la priorité au “réseau relationnel” des différents signes et, ainsi, à leur articulation et leur structure (cf. Greimas & Courtés 1993/1979 : 361), a effectivement rapidement dominé la pensée des sciences humaines en Europe (cf. par ex. Lévi-Strauss 1958/1973; Hjelsmlev 1968; Jakobson 1973; Bourdieu 1979; Barthes 1985). Mais en voulant « absolument (…) appliquer le modèle linguistique à tous les types de signes », comme le regrettent, non sans autocritique, Umberto Eco (1988/1980 : 99) mais aussi les chercheurs du Groupe µ (1992 : 10sq.), le structuralisme en tant que tel demeurait, mutatis mutandis, confiné au prisme linguistique. Le structuralisme a sans aucun doute fourni la description la plus approfondie des relations qu’entretiennent les signes entre eux. Mais la sémiologie ne semble pouvoir exploiter pleinement son potentiel fédérateur que dans la mesure où elle tient compte des relations entre le signe en tant que tel, son référent et le sujet impliqué dans la sémiose, étudiées dans la continuité des travaux de Charles Sanders Peirce (1978/1932, C.P. 1540ssq. ; 2.243ssq.).

En effet, une telle « sémiologie générale », capable de décrire les processus par lesquels tout sujet sémiotique, qu’il s’agisse d’une entité vivante, mécanique ou programmée, développe divers moyens lui permettant d’interagir à sa manière avec les différents éléments du monde, voire de discourir à leur sujet, semble donner l’espoir d’un socle commun pour un échange interdisciplinaire. Les travaux qui mobilisent les connaissances de la sémiologie pour une recherche fondamentale au sein de leurs disciplines respectives montrent qu’un tel échange est déjà une réalité, et ce non seulement dans les sciences humaines, comme l’histoire de l’art (cf. p.ex. Carani 1992), la musicologie (cf. p.ex. Brandt & Carmo 2015), les sciences de la culture (cf. p.ex. Lotman 1990) ou les sciences cognitives (cf. p. ex. Gineste 1997), mais aussi dans les sciences naturelles, comme la physique (cf. p.ex. Petitot 1992), la (micro)biologie (cf. p.ex. Bassler & Winans 2008) ou la biologie (cf. p.ex. Emmeche & Kull 2011), sans oublier les travaux qui s’intéressent à la transmission didactique de ces connaissances scientifiques (cf. p.ex. Kadunz 2020 ; Houdement 2022). Du côté de la sémiologie comme discipline à part entière, l’investigation sur le sens s’est intéressée à la perception et, partant, a pris une tournure naturaliste où la biologie, les sciences cognitives (cf. p.ex. Brandt 2021) et en particulier les neurosciences jouent un rôle décisif (cf. par exemple Groupe μ 2015).

Ce potentiel interdisciplinaire ainsi que le caractère fondamental de la sémiologie pour les théories de la connaissance feront l’objet des discussions au cours de ce colloque. Il s’agira de créer un échange entre des chercheur.e.s établi.e.s et ceux.elles d’une nouvelle génération qui se sont fixé.e.s pour objectif d’examiner la signification et les limites des processus sémiotiques au sein et du point de vue de leurs propres disciplines en recherche. Pour ce faire, les participant.e.s sont appelé.e.s à présenter leurs propres travaux de recherche en exposant les raisons pour lesquelles ils font appel aux acquis de la sémiologie. Quel est l’intérêt de la sémiologie pour vos recherches ? Vos travaux apportent-ils des éléments sémiologiques généraux permettant une ouverture à l’inter- voire la transdisciplinarité ? L’utilisation de la sémiologie, et de son langage, permet-elle de fluidifier la communication et la transmission des divers enjeux disciplinaires aux non-spécialistes ?

Merci d’envoyer avant le 15.01.2023 à Christian Sinn (christian.sinn@phsg.ch) et Thomas Sähn (thomas.sahn@sorbonne-universite.fr) vos propositions de contribution (environ 300 mots) accompagnées d’une notice biographique comprenant une courte présentation du parcours académique, d’éventuelles publications et le thème de votre travail de recherche actuel. Le français, l’allemand et l’anglais sont les langues de travail. La maîtrise au moins passive de deux des langues mentionnées est requise.


Die Semiologie, Organon für eine inter- und transdisziplinäre Wissenschaft?
Bestandsaufnahme semiotischer Ansätze im deutsch-französischen Nachwuchsforschungsbereich der Geistes- und Naturwissenschaften

Paris, vom 23. bis 25. November 2023
(Hybride Veranstaltung)

Jede Erarbeitung und Vermittlung von Wissen unterscheidet sich nicht nur hinsichtlich der von ihr untersuchten Objekte, sondern hat auch eine ihr mehr oder weniger eigene Sprache und Methodik entwickelt und sich in spezifischen sozialen und institutionellen Strukturen organisiert (vgl. Besnier & Perriault 2013). Mangelt es nicht an interdisziplinären Initiativen zwischen unterschiedlichen Fachbereichen und Institutionen, in denen so mancher bereits die ersten Anzeichen eines „Übergangs zu einem post-disziplinären Zeitalter“ zu erkennen vermag (vgl. Endrizzi 2017: 2; Heilbron & Gingras 2015), so kann ein inter- oder gar transdisziplinärer Austausch gewiss nur dann für alle Seiten fruchtbar sein, wenn er auf einem gemeinsamen Fundament beruht. Ein solches Fundament zu schaffen, ist der an sich selbst gestellte Anspruch der Semiologie. Von der Linguistik zur (Mikro-)Biologie, von der Didaktik zu den Neuro- und Kognitionswissenschaften, von der Informatik zu den verschiedenen Disziplinen der Humanwissenschaften soll mit diesem ersten Kolloquium eine Plattform für einen transdisziplinären, transnationalen und transgenerationellen Austausch geschaffen werden, der den Teilnehmenden die Möglichkeit gibt, auf der Basis der Semiologie die Überlegungen und Erkenntnisse anderer Forschungsdisziplinen und -traditionen für die eigenen Forschung nutzbar zu machen.

Indem die Semiologie das Ziel verfolgt, die Prozesse der Semiose zu beschreiben, d.h. die Mechanismen offenzulegen, mit Hilfe derer den Phänomenen der Welt eine Bedeutung zugeordnet wird, erlaubt sie in der Tat jene Schnittstelle näher zu beleuchten, die jegliche Forschung und Lehre teilt: die Frage nach der Erarbeitung und Vermittlung von Sinn (vgl. Klingenberg 1996: 9–10). Das Potential der Semiologie, eine grundlegende Theorie für die Gesamtheit von symbolischen Handlungen zu schaffen, sah bereits der Genfer Linguist Ferdinand de Saussure in seinem Cours de linguistique générale (1971/1916: 33), die später der deutsche Philosoph Ernst Cassirer in seiner Philosophie der symbolischen Formen (2010/1923-1929) übernahm und kulturphilosophisch neu kontextualisierte. Der von Saussure entwickelte strukturalistische Ansatz, bei dem das Augenmerk in erster Linie auf dem „réseau relationnel“ der unterschiedlichen Zeichen und somit ihrer Artikulation und Struktur lag (vgl. Greimas & Courtés 1993/1979: 361), bestimmte dann auch tatsächlich bald das Denken verschiedener Geisteswissenschaften in Europa (vgl. bspw. Lévi-Strauss 1958/1973; Hjelsmlev 1968; Jakobson 1973; Bourdieu 1979; Barthes 1985). Doch da man dabei die der Linguistik entnommenen Modelle auf jegliche Zeichentypen übertragen wollte, wie Umberto Eco (1988/1980: 99), aber auch die Forscher der Gruppe µ (1992: 10f.) nicht ohne Selbstkritik feststellten, blieb der Strukturalismus als solcher mutatis mutandis in einer sprachtheoretischen Perspektive verhaftet. Ohne Frage ist es ihm in bisher umfassendster Form gelungen, die Beziehungen von Zeichen untereinander zu beschreiben. Dennoch scheint die Semiologie ihr interdisziplinäres Potential nur dann vollständig ausschöpfen zu können, wenn sie bei ihrer Überlegung auch die bereits in der Tradition von Charles Sanders Peirce (1978/1932: C.P. 1540ff.; 2.243ff.) herausgearbeiteten spezifische Beziehung zwischen dem Zeichen als solchem, seinem Referent und dem bei der Semiose involvierten Subjekt berücksichtigt.

Eine solche „allgemeine Semiologie“, die die Prozesse beschreibt, mit Hilfe derer jegliche semiotische Subjekte, seien diese lebende, mechanische oder programmierte Organismen, auf ihre Weise mit den verschiedenen Elementen der Welt interagieren, oder gar über diese kommunizieren, scheint in der Tat als mögliche Grundlage für einen fachübergreifenden Austausch fungieren zu können. Dass ein solcher Austausch bereits Realität ist, zeigt sich in den unterschiedlichsten Arbeiten, die die Erkenntnisse der Semiotik für eine grundlegende Forschung innerhalb ihrer jeweiligen Disziplin mobilisieren, und dies nicht nur allein in den Humanwissenschaften, wie der Kunstgeschichte (vgl. bspw. Carani 1992), der Musikwissenschaft (vgl. bspw. Brandt & Carmo 2015), den Kulturwissenschaften (vgl. bspw. Lotman 1990) oder den Kognitionswissenschaften (vgl. bspw. Gineste 1997), sondern auch in den Naturwissenschaften, wie der Physik (vgl. bspw. Petitot 1992), der Mikrobiologie (vgl. bspw. Bassler & Winans 2008) oder der Biologie (vgl. bspw. Emmeche & Kull 2011), und nicht zuletzt auch in Arbeiten, die sich mit sich mit der didaktischen Vermittlung von solchen wissenschaftlichen Erkenntnissen beschäftigen (vgl. bspw. Kadunz 2020; Houdement 2022). Innerhalb der Semiologie führte wiederum die Einbeziehung der Wahrnehmungsprozesse in die Analyse von Sinn- und Bedeutungszuordnung zu einer naturalistischen Wende, bei der die Biologie und die Kognitionswissenschaften (vgl. bspw. Brandt 2021) und insbesondere die Neurowissenschaften eine entscheidende Rolle spielten (vgl. bspw. Groupe μ 2015).

Dieses interdisziplinäre und grundlegende Potenzial der Semiologie soll im Laufe dieses Kolloquiums diskutiert werden. Dabei soll ein Austausch zwischen etablierten Forscher*innen und solchen einer neuen Generation geschaffen werden, die sich zum Ziel gesetzt haben, die Bedeutung und die Grenzen von semiotischen Prozessen innerhalb und aus Sicht ihrer verschiedenen Forschungsdisziplinen zu untersuchen. Zu diesem Zweck werden die Teilnehmer*innen gebeten, die eigenen Forschungsarbeiten unter der besonderen Berücksichtigung ihrer semiologischen Komponente vorzustellen. Welche Bedeutung hat Semiologie für Ihre Forschung? Konnten in Ihrer Arbeit Erkenntnisse für eine allgemeine Semiologie gewonnen werden, die eine inter- oder sogar transdisziplinäre Ausrichtung ermöglichen? Wird Nicht-Spezialisten durch die Verwendung semiologischer Konzepte und Terminologien bei der Darlegung und Vermittlung der fachspezifischen Problemstellungen und Erkenntnisse der Zugang zu diesen erleichtert?

Themenvorschläge mit einem kurzen Abstract (ca. 300 Wörter) sowie einigen kurzen biografischen Angaben zum akademischen Lebenslauf, eventuellen Publikationen und dem Thema der derzeitigen Forschungsarbeit sind bis zum 15.01.2023 an Christian Sinn (christian.sinn@phsg.ch) und Thomas Sähn (thomas.sahn@sorbonne-universite.fr) erbeten. Die Arbeitssprachen sind Französisch, Deutsch und Englisch. Die zumindest passive Beherrschung von zwei der genannten Sprachen wird vorausgesetzt.


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Beitrag von: Thomas Sähn

Redaktion: Robert Hesselbach